Uma ficção inútil – 小說無用 – tiểu thuyết vô dụng

  • Lab
    • Autre / Other
  • Production year 2014
  • Production format Video
  • No filled.
  • Duration 31′
  • Uma ficção inútil – 小說無用 – tiểu thuyết vô dụng

  • a Film
  • by Cheong Kin Man
  • Description (english) Confused, frustrated but encouraged, he puts his whole “him” into this film. The filmmaker approaches his life struggles as a dilemma between the filmed and the non-filmed, the translation and the impossibility of communication, the voice-over and the subtitles. As a fan of Kon Ichikawa and Yasunari Kawabata, and a lover of Michio Takeyama’s novel “Harp of Burma”, he tries to express that complexity in a series of multilayered fictive/true stories through visual, audial and, especially, textual manipulations while questioning the power structure of image quality. Mixing his banal daily life, his past, and the filmmaking process, the filmmaker raises several anthropological and life questions on nature, origin, language, non-existence, identity, visual media and dominant cultures. He strives to find answers in a circle of interpreting himself in a conflict between oppressed and powerful languages, retranslating what is translated and letting others reinterpret him from both within and without the film. Everything becomes useless when one transcends boundaries inside the mind
  • Description (french) Confus, frustré mais encouragé, le cinéaste tente de mettre tout de lui dans ce film. Il aborde les épreuves qu’il rencontre dans sa vie à  la façon d’un dilemme entre le filmé et le non-filmé, la traduction et l’impossibilité de communication, la voix-off et les sous-titres. Admirateur de Kon Ichikawa et Yasunari Kawabata, et amoureux du roman La Harpe de Birmanie de Michio Takeyama, il essaye d’exprimer cette complexité dans une série d’histoires multicouches fictives/vraies à  travers une manipulation visuelle, sonore et, particulièrement, textuelle. En mélangeant la banalité de sa vie quotidienne, son passé, et le processus de réalisation du film, le cinéaste pose plusieurs questions anthropologiques et de vie sur la nature, l’origine, la langue, la non-existence, l’identité, les média visuels et les cultures dominantes. Il s’efforce de trouver des réponses dans un cercle d’interprétation de lui-même dans un conflit entre les langues opprimées et puissantes, en retraduisant ce qui est traduit et en laissant les autres le réinterpréter, à  la fois au sein du film et sans celui-ci. Tout devient inutile quand on transcende les frontières à  l’intérieur de l’esprit.
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